Petit bobo ou malheur du quotidien lorsque l’on utilise de l’informatique qu’elle soit libre ou pas.
Sous GNU/Linux on a pas de virus mais des GDBus.Error when trying to enable second screen
Petit bobo ou malheur du quotidien lorsque l’on utilise de l’informatique qu’elle soit libre ou pas.
Sous GNU/Linux on a pas de virus mais des GDBus.Error when trying to enable second screen
La Bibliothèque municipale de Lyon, en partenariat avec l’association ALDIL et des membres de communautés du libre, propose une install party à la médiathèque du Bachut.
J’aime bien le concept, même si ce n’est pas donné à prêt de 300€. Mais cela permet de bénéficier du meilleur des deux mondes.
WD Black² Dual Drive : un SSD et un disque dur distincts dans 9,5 mm d’épaisseur.
Considérons la rareté comme la caractéristique principale régissant notre économie. Comment dans ce contexte développer des biens dont la caractéristique principale est tout à l’opposé, car ils sont abondants et disponibles sans limite? C’est tout le paradoxe de l’existence des logiciels libres. C’est aussi sous cet angle que peuvent s’analyser toutes les stratégies actuelles de création de revenus à partir des logiciels libres.
Economie de la rareté et logiciels libres – 1/1 par @pscoffoni – Philippe Scoffoni.
Puisque le temps est aux économies, il suffit de supprimer le Sénat et de diminuer de moitié le nombre de députés. Ils continueront de faire ce qu’ils veulent mais au moins ça coutera moins cher aux contribuables.
Microsft, Apple, Nestlé… La liste est longue…
Toujours satisfaisant de voir que le travail de fond a porté ses fruits…
Logiciels libres dans l’administration : le préfet de l’Isère s’en mêle.
Bon c’est un Raspberry Pi avec un kit pour en faire quelque chose de présentable et d’utilisable. Enfin les usages seront quand même limités… Un peu cher le projet KickStarter je trouve….
Question lancinante, et si le contrat Google s’arrêtait ? Cela fait maintenant de nombreuses années que Mozilla ne vit quasiment que grâce à ce fameux contrat. Mozilla dit avoir accumulé un trésor de guerre qui lui permettrait de continuer son activité même si le contrat devait s’arrêter. Mais durant combien de temps et pour le remplacer par quoi ? Là moins de réponse.
J’ai toujours du mal à comprendre qu’avec les moyens dont dispose la fondation depuis des années, la dépendance n’est toujours pas levée. Cela veut-il dire que hors de ce contrat, il n’y aurait point de salut ? Que la fin du contrat signifierait la fin de Mozilla une fois le tas d’or mangé ?
Habité dans une maison individuelle dans une zone très dense c’est la quasi certitude de ne jamais voir la fible débarqué à mon avis… Tout comme GDF qui n’a jamais voulu me raccorder… Pourtant la fibre passe à 15m… Le gruyère de la couverture des zones très dense n’est pas prêt de se résorber. Tous sur la 4G ?
Arcep et FTTH : enfin des préconisations pour les petits immeubles de grandes villes.
A Lyon le 29 novembre 2013 à l’Université Lyon 2 (Bron)
Qui espionne qui sous couvert de vous empêcher d’être espionné 🙂 ?
Ghostery : Si c’est gratuit, c’est vous le produit ? | David Mercereau.
Ce n’est pas en effet en créant des halls de Freyssinet que le Numérique et ses usages va se développer. C’est en allant au plus prêt des gens comme sait si bien le faire Google… Un texte qui valide si c’était nécessaire les propositions de Meza|Lab de développement d’Actions locales au niveau des quartiers. Fleur Pellerin fait fausse route en faisant plaisir à une élite d’élus et de businessman, le comprendra-t-elle ? Les acteurs du Numérique en France sont-ils capable de se mobiliser autour de projet d’envergure qui on compris l’enjeu de cette présence au plus prêt des gens. Une façon d’ensuite mieux toucher et diffuser les nouveaux usages du Numérique et favoriser le développement économique d’un secteur sur lequel notre pays a encire bien du retard.
Politique de la ville, participation des habitants et numérique..
C’est parti on va se retrouver avec une myriade de petits logiciels tous fermés, incompatibles entre eux et qui ne marchent qu’avec certaines imprimantes… Alors qu’il y a un outil universel, libre offrant bien plus de possibilités de disponible. Venez participez, c’est chez Meza|Lab
Avec 3D Builder pour Windows 8.1, Microsoft démocratise l’impression 3D.
C’est lui qui le dit. Le soucis c’est qu’il sera difficile de remplacer ce personnage charismatique pour Miscrosoft.
Android c’est pas très libre mais franchement open source. Il n’empêche que je pense que l’on va retrouver cet OS de plus en plus sur nos terminaux de travail et pas seulement mobiles.. Au passage je vais en profiter pour tester la version Android d’OpenOffice
Installez l’émulateur Android Genymotion 2.0 sur Ubuntu et Linux Mint | Le Libriste.
Visibilité, c’est essentiellement ce dont on besoin les logiciels libres. Un visibilité organisée qui regroupe tout ce qui est aujourd’hui éparpillé…
Pour évaluer un site web.
Mais peut-on la maîtriser ?
Blog de Paul Jorion » UN EFFET DE LA COMPLEXITÉ NON MAîTRISÉE, par Jacques Seignan.
Franchement cela m’amuse de voir la total décorrélation que permet le Numérique entre la valeur d’une société et sa réelle utilité économique proche de zéro.
Snapchat : Evan Spiegel, 23 ans, refuse 3 milliards de Facebook.
J’ai bien regardé la vidéos de la page d’accueil mais je n’ai pas compris le lien avec le service ou les fonctionnalités de ce dernier. Je suis un vieux con, c’est fait…
Vu la durée de vie de ces engins et leur usage, on va se retrouver rapidement avec des montagnes de tablettes dans les poubelles. Quid du recyclage ?
Bouygues Telecom propose une offre de support à ses clients sur le logiciel de bureautique libre LibreOffice. Si l’apparition de cette offre est très positive, sa mise en œuvre n’est pas sans rappeler les erreurs commises par le passé avec l’implémentation des systèmes d’exploitation GNU/Linux sur les Netbook. Mal ficelé, mal supporté, ce fut l’échec. Qu’en est-il de cette offre dont certains points sont assez dérangeants ?
LibreOffice au catalogue des Solutions Cloud Pro de Bouygues Telecom
Bouygues va-t-il jouer le jeu de la contribution ? Un accord existe-t-il déjà ?
Si cela pouvait suffire…
Des ruches intelligentes open-source pour sauver les abeilles.
La vague Android et quoi que l’on pense de sa qualité aura été un vrai Tsunami. Comme quoi il ne suffit pas d’avoir le meilleur outil pour remporter des victoires écrasantes. La façon de faire compte davantage.
Libérer, veut-il dire systématiquement « rendre gratuit » ? La question reste tout entière comme elle l’est pour les logiciels. Il faudra bien que certains paient en fonction de l’usage qui en est fait. Une règle simple : l’usage des données est-il d’intérêt générale ou sert-il de base à une activité économique (indépendamment du statut sociale de l’entité) ?
Libérer (enfin) les données publiques et faciliter leur réutilisation.
Une des solutions pour résoudre l’équation du financement du développement du logiciel libre (le vrai)
Le revenu de base, un rêve de développeur de logiciel libre ?.