Pas de souveraineté nationale pour la démarche humaniste de l’open source

Le logiciel libre ou open source n’a pas de nationalité effectivement, il n’appartient en principe à personne et à tout le monde sur le papier. Pourtant il lui faut bien des « supporter » qui puissent se regrouper et mutualiser leurs moyens… Et pour cela il faut des structures adaptés aux conditions et particularités économiques de chaque pays qui soient en réseau autour d’une tête de proue qui assure la visibilité du logiciel et sa promotion/diffusion.

Pas de souveraineté nationale pour la démarche humaniste de l’open source | Le Cercle Les Echos.